Sunday, June 7, 2009

La francophonie des Amériques

L'année passé, pour marquer le 400e anniversaire de la ville de Québec, le Québec a mis en fonction une idée existant depuis près d'une décennie: l'ouverture du Centre de la francophonie des Amériques à attirer les francophones et francophiles des quatre coins des Amériques pour « contribuer à la promotion et à la mise en valeur d’une francophonie porteuse d’avenir pour la langue française dans le contexte de la diversité culturelle en misant sur le renforcement et l’enrichissement des relations ainsi que sur la complémentarité d’action entre les francophones et les francophiles du Québec, du Canada et des Amériques. »

C'est-à-dire il veut créer l'entité à laquelle il fait référence dans son nom: une francophonie du continent, incluant les gens de la Caraïbe, de l'Amérique latine, les cadiens et, le groupe le plus important pour moi, les franco-américains/yankois ainsi que les peuples français du Canada et les territoires de France aux Amériques.

Il a déjà commencé par distribuer des prix d'argent pour soutenir des projets à la jeunesse, sponsoriser des événements à l'extérieur du Québec (comme des pièces du théâtre du Monde d’à côté, un groupe yankois) et la semaine prochaine il organisera un forum de 50 jeunes francophones comme des ambassadeurs et des ambassadrices.

Sans doute, il y a des raisons politique pour lesquelles le centre était créé. Je crois que le potentiel d'augmenter le statut du Québec d'une province manquant de la souveraineté avec 7 millions des francophones (mise en contraste avec les 65 millions de la France) à un axis des environs 66 millions francophones et francophiles était une raison principale.

Malgré ces raisons de l'intérieur du Québec, le centre reste un cadeau aux peuples francophones des Amérique. Par exemple, aux États-Unis les yankois et les cadiens pleurent déjà le mort de leurs cultures, parce qu'il n'existe pas un force unifiant pour la conserver. En Caraïbe, les gens-là sont trop souvent oublié. Leurs cultures ne sont aussi important que la stabilité politique et la fortune dont ils ont besoin, mais, selon moi, à la long leur inclusion dans les affaires du monde créera plus d'opportunités d'améliorer leur situation que l'aide étranger -- au moins, il ne peut pas les blesser.

Le Québec, ou le Canada en général, est le seul pays capable de ce projet, pour les raisons précédentes, mais il n'existe pas l'organisme capable de maintenir ou raviver le français partout aux Amériques. En fait, une invasion culturel comme ça n'est pas désirable; il faut participer chez soi utilisant le soutien que le centre offre.

Donc, je conseil que tous ceux qui aime le français du New Hampshire (et bien sûr, des Amériques en général) deviens un membre de la communauté virtuelle du centre et, quand ça deviendra possible, du centre lui-même. C'est un façon de montrer nos chiffres, connecter avec les autres francophones et francophiles de l'hémisphère et participer directement aux activités du centre.

Je suis très heureux d'écrire que j'ai gagné un poste de bénévole au centre offrant assistance informatique pendant mon séjour à Québec. Je le fait depuis une semaine et je trouve déjà que le travail du centre est très passionnant et sincère. J'assisterai aussi au forum des jeunes ambassadeurs pendant la semaine prochaine avec plusieurs autres yankois (incluant deux autres du New Hampshire). C'est cette participation individuelle qui transformera l'assistance du centre à une situation française amélioré chez nous.

Pourtant je crois que l'opportunité la plus efficace à travailler ensemble avec le centre est par la création de l'organisme culturel dont nous manquons comme partenaire du centre.

Comme le Québec ne peut pas obliger l'usage du français ou le respecte des divers cultures françaises à l'extérieur de sa province, il a besoin des partenaires étrangers et le centre les chercher activement. Comme les voisins proches faisant partie du partenaire de commerce le plus grand du Canada, les États-Unis, les états de New York, de Vermont, de New Hampshire et de Maine sont des endroits naturels pour un partenaire comme ça. Comme preuve de cette observation, le centre a déjà organisé plusieurs conférences pour apprendre la situation française parmi ces états.

Donc si le New Hampshire, c'est-à-dire une association privée ou le gouvernement, aurait un programme de maintenir ou agrandir l'usage du française de l'état -- par exemple une extension du programme « Destination North Country » -- il trouverait le Centre de la francophonie des Amériques serait un partenaire passionné!
Last year, to mark the 400th anniversary of Québec City, the province put into action an idea that had existing for nearly a decade: the opening of the Center of the Francophonie of the Americas to attract the French speakers and lovers from the four corners of the American continents in order to "contribute to the promotion and development of a future carrier for the French language in the context of cultural diversity by focusing on strengthening and enhancing relationships and on the complementarity of action between the Francophones and Francophiles from Quebec, Canada and the Americas."

In other words, they seek to create the very entity it references in its name, a francophonie of the Americas, to include the peoples of the Caribbean, Latin American, the Cajuns and, the group most important to me, the franco-americans/yankois, as well as the French populations of Canada and the American territories of France.

They've already begun by distributing monetary awards to support youth projects, supporting events outside of Québec (like the show by Monde d'à côté, a yankois theatre group) and next week they will host a forum of 50 French-speaking youth as ambassadors.

Without a doubt, there are political reasons that drove the creation of the Center. I believe that the potential to bolster the status of Québec from a non-sovereign province with 7 million French-speakers (compared to the 65 million of France) to the hub for nearly 66 million French-speakers and lovers was a major reason.

Despite these internal reasons, the Center remains a gift to the French-speaking peoples of the Americas. For example, in the United States the yankois and the cajuns are already mourning the deminse of their cultures, because no unifying force to preserve them exists. The people of the Caribbean are too often forgotten. Their cultures are not as important as the political stability and weath that they need, but, in my opinion, in the long run their inclusion in world affairs will create more opportunities to improve their situation that foreign aide -- at the least, it can't hurt them.

Québec, or Canada in general, is the only state that is capable of this project, for the above reasons, but there is no organization that can maintain or rescussitate French everywhere in the Americas. In fact, a cultural invasion of that sort isn't desirable; people should participate in their own communities using the support that the Center is offering.

Therefore, I believe that any French-loving Granite Stater (and of course, anyone from throughout the continent) should become a member of the Center of the Francophonie of the America's online social network and, when it becomes possible, the Center itself.

I am very happy to write that I have gained a volunteer position providing technical assistance at the Center during my stay in Québec. I have been at it for a week and I can already tell that the work there is passionate and sincere. I will also be attending the youth forum next week with several other yankois (including 2 from New Hampshire). It's this kind of individual participation that will transform the assistance of this center into an improved French environment at home.

However, I believe that the most effective opportunity to work together with the Center is through the creation of a cultural organization to act as its partner.

Since Québec can't force the use of French or the respect of the various French cultures outside its province, it needs foreign partners and the Center is actively searching for them. As close neighbors within the biggest trading partner of Canada, the United States, the states of New York, Vermont, New Hampshire and Maine constitute natural places for such a partner. As proof of this observation, the Center has already held several conferences on the French situation in these very states.

Therefore if New Hampshire, by which I mean a private association or the government, were to have a program to maintain or grow the use of French within the state -- for example, as an extension of the "Destination North Country" program -- it would find the Center of the Francophonie of the Americans would be a passionate partner!

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